L’interrogatoire d’un soumis par une maîtresse 2

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Par Emilie

Interrogation surprise pour voir ceux qui suivent, qu’est-ce que j’allais faire ? Tiens je devrais réellement le faire, quand j’aurai la maitrise totale de mon blog je ferais ça, un petit qcm pour vérifier vos connaissances avant de vous laisser passer à la suite ça sera sympathique :) C’est la mode des MOOC je vais en ouvrir un en domination/soumission. Je crois que je viens de trouver un créneau porteur :)

Trêve d’idioties, le début d’une séance est compliqué, surtout lorsqu’il s’agit d’un interrogatoire. Je dois réussir le grand écart entre me montrer gentille et méchante à la fois, et comme si ça ne suffisait pas je dois le faire d’une manière crédible. Le premier contact est important, en l’humiliant je m’assurais qu’il comprenne que j’étais capable d’aller loin s’il se comportait mal, c’était destiné à le tenir en respect. Pour autant j’avais besoin qu’il prenne ses aises, je devais l’intimider mais pas trop, difficile équation. Il aurait été plus simple de lui rentrer dedans brutalement dès le départ mais j’avais bien plus sadique en tête, je voulais le frustrer, le faire s’énerver contre moi de façon à le faire culpabiliser sur la responsabilité de ce qui allait lui arriver par la suite. Je voulais qu’il prenne suffisamment confiance en lui jusqu’à ce qu’il mette un pied sur la ligne interdite, volontairement et consciemment. Mettez-vous à sa place, il venait de se faire humilier, il avait en tête que j’étais dangereuse, il savait que la dernière chose à faire était de me chercher. J’allais pourtant le mettre dans cette situation, il verrait le piège arriver mais sans pouvoir s’empêcher de foncer dedans tête la première.

J’allais discuter avec lui, comme si le scénario était en pause, comme si nous n’étions pas dans une session BDSM. À un moment l’attente allait devenir insupportable au point où il allait vouloir provoquer lui-même l’emballement de la situation. Certains soumis aiment se mettre dans des situations dangereuses ils ne peuvent pas s’en empêcher. C’est particulier comme état d’esprit, voir la bêtise et pourtant la faire. Je fais exactement pareil ceci-dit, j’ai une vilaine tendance à chercher le bâton pour me faire battre, je suis une très mauvaise soumise il faut l’avouer. Ce n’est pas un domaine où j’excelle. D’ailleurs qui n’a pas cette tentation au fond de lui ? Qui n’a pas envie lors d’un contrôle routier de répondre « ciseau » quand un policier dit « papiers » ?

Comme quelques minutes auparavant lorsqu’il a signé une confession alors que je lui assurais qu’il n’y aurait pas de conséquences, il savait que je mentais et pourtant il a signé. Je rappelle le mot d’ordre du scénario : l’impuissance à réagir.

Pour se situer sur la progression émotionnelle je devais gérer la transition entre la phase de déni et celle de la colère. J’allais le pousser jusqu’à ce qu’il tape sur la table en hurlant « mais putain j’ai rien fait » et que je puisse me déchainer sur lui en représailles. Ça ne risquait pas d’arriver tel quel, il avait les mains attachées, mais vous voyez l’idée.

Pour résumer ma mission était de devenir énervante, j’ose le terme chiante, jusqu’à ce qu’il fasse le pas de trop qui justifierait que je lui en mette plein la gueule, littéralement. Je ne le prenais pas en traitre il a très vite compris mon manège, c’est meilleur quand vous voyez arriver l’impact.

Je suis entrée dans la pièce, toujours mes dossiers à la main, je n’ai pas exagéré ma démarche, je ne cherchais pas à être sexy. Je me réservais pour plus tard la carte de la féminité, pour meubler une pause entre 2 jeux. J’avais prévu de chercher à l’exciter sexuellement après une douleur, pour jouer sur les contrastes.

Mais je m’éparpille, pour la première phase je devais l’énerver et j’avais choisi l’option de l’infantilisation, ne pas prendre au sérieux la situation.

Je me suis assise sur la chaise en face de lui, j’ai ouvert un dossier pour lire, j’ai hoché de la tête, pris quelques notes, j’ai refermé le dossier.

— Qu’est-ce qu’il a fait pour mériter de se retrouver sur cette chaise le vilain garçon ?

Il a eu un sourire gêné.

— Rien madame.

— Ça je ne crois pas.

Je l’ai regardé avec insistance.

— Tu ne sais vraiment pas pourquoi tu es là ?

— Je ne sais pas, j’ai besoin d’un avocat ?

— Aucun avocat ne pourra te tirer du pétrin dans lequel tu t’es mis

— Quel pétrin ?

— Il me parait clair à la vue de ton dossier que tu cherches les ennuis.

— Je ne vois pas ce qui vous fait dire ça madame. Je suis désolé je n’ai rien à cacher, sinon je vous le dirais, je vous assure.

J’ai souri.

— Ne le sois pas, les interrogatoires sont bien plus marrant quand il y a de la résistance.

— Je ne veux pas résister.

— Ne sous-estimes pas ta bêtise.

J’ai avancé les coudes sur la table pour gagner du terrain et lui parler sur le ton de la confidence.

— Entre nous, j’espère que tu tiendras longtemps sans craquer, je veux pouvoir justifier de longues heures d’interrogatoire. J’ai reçu des instructions spéciales pour toi et je meurs d’envie de mettre en pratique.

J’ai haussé les sourcils en souriant pendant que je me calais de nouveau en arrière sur mon siège. Au son de sa voix il était inquiet.

— Quelles instructions ? Et de qui ?

J’ai continué de le regarder sans rien dire.

— Pardon je voulais dire « de qui ? Madame ».

Je suis restée silencieuse, toujours souriante.

— Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?

J’ai rigolé.

— Tu vois c’est frustrant quand la personne en face toi ne répond pas.

— Mais je n’ai rien à dire je ne vais pas inventer.

— Ne sois pas timide confies-moi tous tes vilains secrets.

— Je n’en ai pas madame.

J’ai soufflé d’exaspération.

— Un être humain qui n’a pas de secrets, tu crois que c’est réaliste ? Tu penses que je vais croire ce vilain mensonge ? Quitte à mentir essaye d’être un minimum crédible.

— Je n’ai rien fait d’illégal.

— C’est mieux ! Tu sous-entends que tu me caches quand même des choses. Nous progressons. Lentement mais nous progressons. À ce rythme tu vois que quelques semaines ensembles ne seront pas de trop.

— Je n’ai rien à dire qui vous concerne.

— Crois-moi mon grand je suis l’autorité, tout me concerne. Tu connais les règles, si je te pose une question tu dois répondre. Si je ne suis pas satisfaite c’est direct plusieurs semaines de détention. C’est ce que tu veux ?

– Non madame.

– Il n’y a pas d’intimité qui tienne, tu réponds point final. Tu as déjà oublié ce qu’il est arrivé à ton cul tout à l’heure ? Tu n’as pas retenu l’avertissement ? Tu veux que je passe à plus gros pour t’aider à te souvenir ?

Il a dégluti, se remémorant du début de fisting que je lui avais fait subir quelques instants auparavant.

— Je n’ai rien à vous dire.

— Dit le correctement. Tu ne « veux » rien me dire. C’est non seulement illégal mais également stupide. Tu ne fais que compliquer les choses. Tu vas finir par tout me dire tu le sais très bien. D’autres ont déjà essayé avant toi ils ont perdu.

— Je n’ai rien fait je vous assure.

Je pianotais des doigts sur la table pour montrer mon impatience.

— Au départ vous êtes tous prêts à jurer la main sur le coeur que vous êtes innocent. Que ce n’est qu’une erreur judiciaire. C’est tout le temps comme ça. Dès que je pousse un peu l’interrogatoire les versions changent. Comme par magie vous vous souvenez tous de quoi je voulais parler depuis le début. Parfois ça prend des jours pour que la mémoire vous revienne. Ça doit être le poids de la culpabilité qui vous stimule, ou autre chose.

— Qu’est-ce que vous allez me faire ?

— Si tu ne « veux » pas répondre ? Ce qui sera nécessaire pour que tu changes d’avis.

— Si je ne « peux » pas répondre.

— Je ne te pose que des questions à ta portée donc cette possibilité n’existe pas. Fais-moi confiance.

— Je ne sais pas ce que vous voulez me faire dire.

— Tout. Je ferais le tri moi-même ne te préoccupe pas de ça. Si tu as déjà mis un pied en dehors d’un passage piéton je veux le savoir.

— Ce n’est pas intéressant madame.

— Qu’est-ce que je dois déduire de ton comportement ? Pas envie de participer à l’effort pour la justice. Pas très citoyen si tu veux mon avis.

Je tentais de maitriser mon agressivité, je voulais qu’il prenne de l’espace pour s’affirmer, ce qu’il a fini par faire, mais ça me coutait.

— Mais je n’ai rien à dire !

Il a hésité à continuer, prenant peur des conséquences potentielles. Je n’avais pourtant toujours pas réagi négativement, j’étais une prédatrice ne voulant pas montrer ses dents avant d’attaquer. Après un coup d’oeil anxieux il a poursuivi.

— Si vous me dites ce dont vous me soupçonnez je pourrais me défendre et lever tous les soupçons.

J’ai répondu froidement.

— N’inverse pas les rôles. Dis-moi tout. Tu n’es pas là pour témoigner. Nous savons que tu as fait quelque chose.

— Mais non ! C’est ce que je me tue à vous dire depuis tout à l’heure. Je n’ai « rien » fait. Si vous avez des preuves je veux les voir !

Il avait haussé le ton avant de se raviser.

— S’il vous plait madame.

Il commençait à s’énerver, c’était bon pour moi, généralement je n’autorise pas les soumis à me parler sur ce ton mais ce n’était que partie remise. Il basculait du déni à la colère, il avait enfin mordu à l’hameçon et il allait bientôt être prêt à être remonté. J’ai pris mon temps pour répondre, contrairement à ce qu’il attendait je suis restée calme. Imaginez son angoisse à savoir que j’allais exploser à un moment où à un autre.

— Tu as peur que ces preuves existent ?

— Non ! Je suis sûr que vous n’avez rien. Ce n’est pas possible !

J’ai hoché la tête.

— Ton plan était trop parfait. Tu n’as pas pu laisser de traces. Ton génie criminel dépasse mes compétences.

— Non, parce que je suis innocent ! Je veux savoir ce que vous avez !

J’ai rigolé.

— Tu veux que je te montre mes cartes pour te contenter d’avouer ce que nous savons déjà et ne rien risquer pour le reste ? Bien essayé on nous a déjà fait le coup.

— Je n’ai rien fait de mal.

— Cherche bien.

Il commençait à s’impatienter.

— Ça va durer longtemps tout ce cirque ? Si je vous dis que je n’ai rien à dire c’est que je n’ai rien à dire. J’ai des choses plus importante à faire.

— Ça ne dépend pas de moi.

— De qui alors ?

Je me suis levée d’un bon faisant voler la chaise en arrière, j’ai attrapé mon dossier pour le taper sur la table qui nous séparait.

— Ça dépend de ta capacité à arrêter ce petit jeu stupide !

Son corps a été parcouru de frissons, il devait s’attendre à ce que j’aille plus loin, c’était mal me connaitre, j’étais bien plus sadique que ça. Il allait vraiment devoir dépasser les bornes pour lancer le jeu.

Je venais de faire un faux départ pour lui rappeler les enjeux, qu’il ait bien en tête qu’un pas de plus dans cette direction et j’allais passer à des supplices plus poussés. Il pouvait me lancer des piques j’allais continuer à rester calme jusqu’à ce qu’il fasse volontairement le pas de trop. Je pouvais jouer au jeu des questions-réponses pendant des heures, c’était à lui de décider du début de la douleur. Face à un soumis qui n’assumait qu’à moitié ses pulsions je le mettais à l’épreuve en lui donnant le pouvoir de déchainer les enfers, d’ouvrir la boite de Pandore pour en libérer tous les maux. Il a continué sans oser me regarder dans les yeux.

— Je ne vois pas ce que vous voulez dire.

J’avais désormais les deux mains posées sur la table, le buste en avant. Il savait que c’était le moment de se lancer dans la gueule du loup mais n’osait pas franchir le pas. Je l’ai poussé.

— Alors ? Verdict ?

Il a pris une inspiration.

— Si c’est comme ça je ne dis plus rien, vu que vous n’écoutez pas « madame ».

— Il veut bouder le gamin ? Tu crois que je vais craquer avant toi ?

— Pensez ce que vous voulez. Je ne signe plus rien, je ne dis plus rien.

— C’est un défi ?

— De toute façon je ne risque rien de plus. Faites ce que vous voulez je ne coopère plus.

— Ça t’énerve que je ne crois pas tes mensonges ? Que je ne crois pas à ta façade de gars bien.

— Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Vous n’écoutez pas.

j’ai tapé du poing sur la table.

— C’est toi qui n’écoutes pas. Je veux tout savoir, tout ce que tu caches. Quelle est la vérité ?

Il a commencé à gigoter sur sa chaise.

— Vous voulez la vérité, madame ?

Il a pris une inspiration, intérieurement j’étais en train d’exulter, je voulais qu’il ose.

— Vous êtes une putain de salope sadique, ça c’est vrai, alors allez-vous faire foutre.

Le dualisme peur et envie, faire des bêtises est aussi excitant que terrifiant. Comment vous décrire la lueur malicieuse dans ses yeux au début de sa phrase puis rapidement la prise de conscience qu’il causait son propre tourment et qu’il était trop tard pour l’arrêter. C’était tout simplement une fraction de seconde incomparable.

Si vous croyez que sa phrase m’a déplue vous n’avez rien compris à mon fantasme, c’était la permission implicite pour me lâcher. J’allais pouvoir tout justifier après ça.

J’ai fait voler la table qui nous séparait, elle est retombée lourdement sur le sol détourant son attention de la gifle qui venait de partir. Il s’est figé sous la poussée d’adrénaline et n’a même pas cherché à esquiver ma main. Toujours tétanisé à cause de la surprise il n’a pas eu le temps de dire qu’il s’excusait avant que la deuxième parte.

Il commençait déjà à gémir, parfait.

Il s’était mis dans la situation paradoxale d’avoir provoqué ce qu’il redoutait. J’ai fait quelques pas pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits puis je suis revenue vers lui d’un pas assuré, joignant mes doigts et armant ma main pour lui coller une nouvelle série de baffes. Quand il a vu que j’allais lui en décocher une autre il a tourné la tête pour tenter d’esquiver. De mon autre main je lui ai fait remettre la tête en place.

— Montres bien tes joues, ça sera pire sinon.

— Je ne veux pas madame.

— Au cas où tu ne l’aurais pas compris ce que tu veux j’en ai rien à foutre. Je ne suis “qu’une salope sadique”.

Les gifles suivantes sont parties, venant rougir davantage les marques précédentes. À ce stade il devait sentir la chaleur et les picotements caractéristiques de ce genre de pratique.

— Tant que tu n’en auras rien à faire de ce que moi je veux tes désirs tu peux te les foutre là où je pense. Tu sais, là où tes codétenus vont passer plusieurs fois par jour pendant les semaines qui viennent.

— Pitié.

J’ai rigolé avant de lui coller quatre autres gifles graduelles, toutes plus fortes que la précédente.

— Tu n’es qu’un minable, un petit arrogant. Tu vas craquer fais-moi confiance.

La voix frémissante il a répondu.

— Je ne comprends rien à ce qui se passe ici

— Ah ouais ? Si tu veux je peux utiliser un langage que même un abruti comme toi peut comprendre.

Je me suis approchée de lui.

— Alors comment ça se dit déjà ? Ah oui.

J’ai claqué ses joues sur un rythme irrégulier dans une sorte de code Morse, une vraie avalanche de gifles. Pour faire mal il n’est pas nécessaire de taper comme une brute, parfois il suffit d’enchainer à un rythme soutenu les tapes pour que le soumis s’en souvienne.

— Voilà je crois que c’est ça. Qu’est-ce que je viens de te dire ? Essayes de deviner.

Il a pris une inspiration, retenant une larme.

— Que je devais vous répondre, madame.

— Tu vois c’est efficace comme méthode de communication. Tu veux continuer sur cette voie ?

Il reniflait presque, même chez les grands costauds il faut très peu de temps pour arriver à ce stade après un choc émotionnel pareil.

— Non madame.

Comme il était menotté dans le dos il ne pouvait pas se masser les joues, il n’en aurait pas eu la permission de toute façon. Il faisait des mouvements de la mâchoire par dépit. J’ai gloussé en le voyant faire, je me suis approché pour lui toucher les joues et les lui pincer. Un mélange de gestes doux et de douleur, j’étais en train de brouiller les limites.

— Tu commences à comprendre à quel point je suis sérieuse ?

— Oui madame.

— Je ne vais pas m’arrêter avant d’avoir une confession complète. Si tu es là c’est que nous avons des preuves.

— Lesquelles ? Je comprends rien, bordel.

Une nouvelle baffe bien plus forte que les précédentes est partie. S’il se montrait agressif c’est qu’il n’avait pas eu sa dose.

— N’inverse pas les rôles confesses-toi.

— Je n’ai rien à confesser.

Je l’ai giflé machinalement.

— On en a déjà discuté, ne repars pas en arrière. Tu as f o r c é ment des choses à confesser. Continue comme ça et j’en fais une affaire personnelle.

Il a soufflé.

— Je pense que vous vous trompez de personne madame.

— Ah ouais, tu es encore en état de penser ? Je ne dois pas taper assez fort alors.

J’ai fait prendre de l’élan à ma main, comme si j’allais servir au tennis. J’ai marqué une pause.

— Remets ta tête droite. Souviens-toi, la coopération à l’interrogatoire est obligatoire. Tu ne voudrais pas aggraver les choses n’est-ce pas ?

Il fermait les yeux et contractait le visage. Comme il avait pu s’y attendre le coup était parti, aussi fort que possible. Sa tête a valsé quand mes doigts l’ont percuté. Sa joue était déjà bien sensibilisée par les claques précédentes la douleur n’a dû en être que plus brulante. En tout cas celle dans mes doigts l’était. Le bruit de l’impact avait été sec, il a résonné dans la pièce et probablement encore plus dans sa tête.

J’ai soupiré en me massant les doigts, il gémissait de plus belle me confortant dans l’idée qu’il l’avait sentie passer. J’aime la sensation de savoir que ma victime a mal et que j’en suis responsable.

Je me suis positionnée de l’autre côté.

— Montre ton autre joue.

Il a grimacé en exposant son autre face.

Une deuxième fois je l’ai giflé en prenant de l’élan. C’est une sensation exquise d’entendre claquer ma main sur le visage de l’autre, c’est tellement personnel et humiliant comme châtiment. Je ne m’en lasse jamais. Autant je déteste me prendre des gifles autant j’adore les donner, il doit y avoir un lien de cause à conséquence.

— Tu ne te sens pas mieux maintenant ? Je pense que j’ai dû te remettre les idées en place. C’est comme une télé, faut taper dessus quand elle ne marche plus.

Il n’a pas répondu. Je crois qu’il voyait des étoiles. J’aurai bien continué sur ma lancée mais il n’était visiblement plus en état.

Une dominatrice doit réussir à concilier ses envies avec des contraintes. J’ai toujours envie de faire mal à mon soumis mais pour autant je ne dois pas l’épuiser au risque de devoir m’arrêter.

J’allais devoir le laisser reprendre ses esprits avec une nouvelle phase plus calme, de toute façon sa colère était passée il allait logiquement passer à l’étape du marchandage.

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